Les nouveaux métiers : responsable du bonheur
CHIEF HAPPINESS OFFICER : LE TERME EST TENDANCE… Le salarié VOUS ÉCLAIRE SUR CETTE BELLE DEVISE QU’EST LE BONHEUR EN ENTREPRISE ET LES MÉTIERS Y ATTENANTS.
Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
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Les nouveaux métiers : responsable du bonheur
CHIEF HAPPINESS OFFICER : LE TERME EST TENDANCE… Le salarié VOUS ÉCLAIRE SUR CETTE BELLE DEVISE QU’EST LE BONHEUR EN ENTREPRISE ET LES MÉTIERS Y ATTENANTS.
Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
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Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
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Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
Les nouveaux métiers : responsable du bonheur
CHIEF HAPPINESS OFFICER : LE TERME EST TENDANCE… Le salarié VOUS ÉCLAIRE SUR CETTE BELLE DEVISE QU’EST LE BONHEUR EN ENTREPRISE ET LES MÉTIERS Y ATTENANTS.
Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
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Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
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Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
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Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
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A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.
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Les nouveaux métiers : responsable du bonheur
CHIEF HAPPINESS OFFICER : LE TERME EST TENDANCE… Le salarié VOUS ÉCLAIRE SUR CETTE BELLE DEVISE QU’EST LE BONHEUR EN ENTREPRISE ET LES MÉTIERS Y ATTENANTS.
Chief Happiness Officer : qu’est-ce que c’est ?
Le rôle du CHO est d’améliorer le bien-être de ses collaborateurs. Installer un baby-foot ou une salle de sieste, c’est sympa, mais vous vous doutez bien que ce n’est pas la seule mission du CHO ! Au-delà de ce côté fun, le CHO va réfléchir aux sources de mal-être dans l’entreprise, et tout faire pour y remédier. Car, oui, le bien-être est un facteur clé de la performance individuelle et collective.
« Les personnes épanouies sont plus performantes, plus énergiques, plus positives, plus créatives, moins absentes » (1) et « elles fournissent un meilleur service au client » (2) … Bref, c’est l’évidence, des salariés heureux amènent plus de valeur ajoutée à leur entreprise. Voilà qui donne sens à la mission du Directeur du bonheur.
Pourquoi c’est tendance ?
De nombreuses études (Harvard, MIT) et auteurs ont récemment pointer le lien positif évident entre bonheur et travail. Laurence Vanhée, première Chief Happiness Officer de Belgique, a écrit « Happy RH, le bonheur au travail » qui est désormais devenu un best-seller.
A bien y réfléchir, l’apparition du rôle de CHO découle peut-être aussi de la génération Z. Ces jeunes qui qualifient l’entreprise de « dure », « impitoyable », « fermée » ou encore de « jungle » (3) ont besoin d’être rassurés et chouchoutés. Le CHO les y aidera en s’assurant de l’équilibre vie professionnelle/vie privée et en partageant des valeurs de team spirit et d’écoute.
Comment on devient Chief Happiness Officer ?
Actionner le bonheur, ça découle avant tout d’une attitude. Il faut avoir un esprit positif, une bonne humeur naturelle, et surtout, montrer un enthousiasme à toute épreuve. Hé oui, il en faut de l’énergie pour améliorer le bien-être au travail. Une posture pragmatique est de rigueur : il s’agit en effet de décliner la stratégie human centric en actions concrètes au quotidien. Pour créer le bonheur, il faut aussi un contexte favorable: « on préconise une entreprise avec une structure la plus agile et flexible possible – plutôt qu’une société organisée en un seul bloc hiérarchique et centralisé » (4).
Les mieux placés pour assumer le rôle de CHO sont principalement issus de formation en Ressources Humaines, Marketing ou Communication, car l’enjeu est à la fois humain et économique. Pour avoir le recul nécessaire à la fonction, un Chief Happiness Officer devra avoir passé 2 ou 3 postes pour vraiment comprendre quel serait un job idéal ou comment bien se sentir au travail. Il pourra ensuite parfaire sa happy vision grâce aux nombreuses formations courtes et séminaires sur le sujet. Ce n’est donc pas un poste que l’on peut viser en étant fraîchement diplômé.
Quels secteurs, quelles sociétés sont concernés au Luxembourg ?
D’abord présent dans les start-up et les services, notamment informatique, ces postes de CHO se déploient petit à petit dans tous types d’activités et de structures. « Il y a de plus en plus de sociétés, quelque soit leur secteur, qui mettent l’humain au cœur du business – pour permettre au travail bien fait, conséquence d’employés heureux, d’avoir un impact positif sur le profit »(5). Ces entreprises human centric vont prendre le pas sur les anciens modèles business centric.
Pour l’instant, au Luxembourg, ils ne sont qu’une douzaine à s’être déclarés acteur du bonheur sur LinkedIn – pas facile de les recenser car chacun y va de sa formulation (Happiness Manager, CHO, Brandlove Manager, Culture Captain…). En tout cas, il y a encore toute une niche à exploiter dans la fonction !
N.B. : pour poser vos questions, il y a d’ailleurs un groupe Linkedin « The Chief Happiness Officers Club » et une page « Club des CHO ».
La job description
Cette liste est loin d’être exhaustive, mais on se plie à l’exercice !
- Son but : créer une entreprise où il fait bon travailler.
- Sa position : adopter une posture de communicant RH.
- Son contexte : une entreprise avec un management proche de ses employés, une structure agile et pragmatique.
- Ses missions : anticiper et désamorcer les conflits, engager les salariés et les motiver à la performance via le bien-être.
- Ses tâches : jouer le rôle de médiateur, recevoir les sollicitations, organiser des évènements internes (team building, séminaires, …), mettre à disposition des services well being pour le personnel (conciergerie, coach sportif, …), organiser les processus RH (recrutement, carrière, retraite …) etc.
- Sa rémunération : elle varie selon l’entreprise (taille, position dans l’organigramme, secteur d’activité, pays…) et l’expérience, donc une fourchette allant de 38 000€ à 69 000€ bruts annuels.
Chief Happiness Officer, ça n’est pas toujours une fonction nouvelle : un chef d’entreprise ou un DRH pourra se dira CHO pour rappeler que le bonheur de ses collaborateurs est au cœur de ses préoccupations.